Les ouvriers sont obligés de travailler de cette façon, comme dans beaucoup d'abattoirs, nous sommes à la course au moins cher, donc il faut du rendement, fric, fric, fric, peut être que le monde animal aura sa revanche sur l'humain pseudo plus intelligent .
Malbouffe assurée avec des animaux allant direct de l'usine fermée et puante à l’abattoir. Arrêtons d'acheter ces produits indignes et impropres à la consommation
Il est intéressant de constater que des avis positifs sont émis de la part même de salariés de l'entreprise....
Et la préfecture ne voit pas les souffrances des animaux et indique dans son communiqué : « [...] le seul visionnage d’images filmées par L214 ne permet pas de conclure en l’espèce à des cas de souffrance animale." Tout va très bien, madame la Préfète...
Heureusement qu'il existe des associations comme L214 pour nous rappeler à la réalité.
Yves Cerisier - directeur adjoint de la DDSPP
Fabienne Wery - vétérinaire
Anthony Deshaies - directeur de l'abattoir
Joël Laloué - conseiller municipal délégué à l'abattoir